Avec Alphonse de Lamartine
“Voici l’étroit sentier de l’obscure vallée :
Du flanc de ces coteaux pendent des bois épais,”
Vouloir se perdre au cœur de versants dévalés
Pour n’avoir en tête qu’un oripeau suspect.
******
“Je contemple la terre, ainsi qu’une ombre errante :”
Que ce temple l’enterre enfin, vie aberrante.
******
« Insensé ! j’ignorais tout le prix de la vie ! »
A tes côtés, j’enfante les pentes gravies.
******
“Là, je m’enivrerais à la source où j’aspire ;”
Ici, j’exaucerais l’utopie qui chavire.
******
“Les astres roulent en silence
Sans savoir les routes des cieux,”
Toi, tu me révèles l’intense
Univers : chemin précieux.
******
S'explorent grâce à toi, mon horizon, ma pierre.
Commentaires
Enregistrer un commentaire