« Ô ma lyre, cessons de nous couvrir de cendre Comme auprès d’un cercueil ! » Accordons-nous l’envolée de l’air le plus tendre : Le couffin qu’on accueille…
« Subitement les murs fléchissent, les fenêtres Semblent des orbites de morts. » Le fauteuil se creuse pour faire disparaître Les courbes livides du corps.
« C'est mourir en effet, qu'à ta faveur céleste Ne rendre point pour fruit des désirs plus ardents ; » A l'orée de la fin, que me ronge la peste, Qu'elle m'achève enfin : je me cogne en dedans.
"Des bois dont l'ombre, en ces prés blanchissants, Avec lenteur se dessine et repose," Déploient leurs feuillus aux verts saisissants Qu'une fraîche envolée de sève arrose. ****** “Ma Muse est simple, et rougissante et nue ;” Elle est mon absinthe et m’élève aux nues. ****** “Avec ses monts, ses forêts magnifiques, Son plan sublime et son ordre éternel, ” S'explore ses horizons mirifiques Qui bravent l'ascétisme originel .
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